Comme ç’avait été le cas pour Volkswagen et Daimler dans la désormais saga du dieselgate, Renault et Nissan sont également soupçonnées d’avoir utilisé des logiciels sur leurs véhicules à moteur Diesel et à essence. Ces logiciels permettaient de contourner les tests sur les émissions polluantes des véhicules. On aurait décelé des taux de pollution 15 fois supérieurs à la norme. (Source : largus.fr) Lire l’histoire originale…
